Entre critiquer la politique israélienne et affréter des trains, il n’y a qu’un pas.
La Suisse est inquiète de l’annonce faite par le gouvernement israélien dimanche de construire près de 10’000 nouveaux logements dans des colonies et de légaliser rétroactivement neuf avant-postes dans les territoires palestiniens occupés. Cette annonce a déjà été vivement critiquée par le Royaume-Uni, les États-Unis, l’Allemagne, la France et l’Italie.
Cette inquiétude est pour le moins suspecte. Elle est même franchement nauséabonde et rappelle les heures les plus sombres de notre histoire. Sans déconner.
Ces projets «sont illégaux au regard du droit international», écrit le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE). La Suisse appelle Israël à renoncer à ces mesures unilatérales qui risquent «encore d’exacerber les tensions» et mettent en danger une solution négociée à deux États. Pour la Confédération, il «est urgent» de restaurer un horizon politique vers une paix durable fondée sur le droit international.
C’est bien pire que ce que l’on pouvait imaginer. Ce département nazi suscite la haine à l’égard de ces colons qui ne sont rien d’autre que de valeureux pionniers souhaitant redonner un souffle de vie à ces plaines désertiques que les Arabes fainéants n’ont jamais été foutus de reverdir.
Il faut dire que ces derniers ne cherchent pas spécialement à améliorer leurs conditions d’existence. Ils ont même dressé un mur sur des centaines de kilomètres pour pouvoir vivre en autarcie, loin des Juifs humanistes qui essaient pourtant d’entrer en contact avec eux pour leur apporter la démocratie et les droits de l’homme.
Ces ingrats intolérants repliés sur eux-mêmes ne valent guère mieux que les antisémites du DFAE. Soutien total à Israël face à cette haine helvétique aux relents moyenâgeux.