John Doe

Avortement: symbole de la victoire idéologique de la dégénérescence

Tout l’Occident dégénéré pleure actuellement sur le fait que certains États américains aient décidé d’interdire sur leur territoire le massacre de bébés dans le ventre de leur mère.

La sacro-sainte démocratie tant vénérée par nos politiciens se transforme en dangereux monstre fasciste lorsque celle-ci ne va pas dans leur sens. La légalisation de l’avortement dans tous les États-Unis venait en effet d’une décision anti-démocratique. Depuis 1972, la Cour Suprême des USA avait mis en place un décret interdisant à tous les États composant l’alliance (n’oublions pas que ce pays est une fédération) de protéger les bébés dans le ventre de leur mère.

La Cour Suprême a été créée pour étudier la comptabilité des lois avec la constitution nationale qui, elle, ne contient en réalité aucun droit fondamental à l’avortement… Ce diktat du « droit » sur la volonté populaire a été possible par la politisation des membres de la cour, élus à vie par le président des États-Unis.

Le règne de Trump, bien que n’ayant pas brillé par son génie, a permis de changer cette situation ubuesque en remplaçant trois juges de gauche décédés par trois autres chrétiens.

Les États américains retrouvent ainsi leur liberté sur ce sujet épineux malgré les protestations des États mortifères. Mais qu’en est-il des autres nations occidentales?

En Europe, la situation est catastrophique. Le débat sur ce sujet n’est même plus possible. Les Églises se taisent et les partis de droite ont repris à leur compte les lubies destructives de la gauche. La France souhaite désormais inscrire le droit au découpage des bébés dans la constitution européenne.

En Suisse, l’omerta règne sur le sujet. Seuls l’UDF, le parti évangéliste et une partie de l’UDC osent s’opposer encore à la pensée unique. En 2014, une initiative populaire demandant à ce que le massacre de fœtus ne soit plus remboursé par l’argent public avait été balayée par 70% de la population après une campagne inexistante.

Des conseillères nationales alémaniques ont tenté il y a peu de temps de lancer des initiatives parlementaires demandant l’introduction d’un temps de réflexion pour les femmes souhaitant avorter ainsi que la limitation de l’avortement à moins de 22 semaines de l’enfant (âge où celui-ci pourrait survivre en dehors du ventre de la mère). Ces idées ont bien entendu été balayées en bloc par les partis dominants et, plus étonnant, par la majorité de l’UDC romande.

Céline Amaudruz a donné une conférence de presse pour rappeler son attachement au génocide de notre peuple et dans le canton de Vaud, Michaël Buffat fit de même pendant les élections cantonales en espérant ainsi séduire les libéraux. Sans succès…

L’avortement, avant acte mortifère venant des rangs communistes (l’URSS fut le premier pays à le légaliser en 1920), est maintenant malheureusement généralisé et vu comme un droit fondamental pour la droite qui renie son histoire. Une victoire idéologique totale sur une Europe agonisante et cherchant à accélérer son décès.

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