L’année dernière, l’Afghanistan est retombé sous domination talibane. Malgré les dizaines de milliards fournis par les Occidentaux à une mafia locale censée organiser sur place une démocratie occidentale, tout s’est effondré en moins de deux, comme un château de cartes.

En effet, peu d’Afghans ont jugé bon de sacrifier leur vie pour que leurs femmes ne soient pas habillées et traitées comme des sacs poubelles et pour que leur peuple puisse s’intéresser à d’autres choses que le Coran. Cet effondrement catastrophique a prouvé que la majorité du peuple afghan veut vivre de façon rétrograde et que l’islamisme est ce qui lui convient le mieux.

Lorsque Kaboul tomba aux mains talibanes, les USA créèrent la panique en évacuant leur ambassade en urgence. Panique totalement ridicule puisque les talibans promirent de ne s’attaquer à aucune ambassade occidentale car soucieux de voir l’Afghanistan reconnu comme État à part entière par l’ONU.

Le gouvernement suisse réagit de la même façon que les États-Unis en faisant revenir en urgence tout son personnel sur place ainsi que tous les Afghans ayant travaillé pour ses bureaux… La Suisse en Afghanistan disposait uniquement d’un bureau de la direction du développement et de la coopération, en bref, une officine présente pour aider la population à faire face à la pauvreté. Les talibans, au courant de l’aide suisse, déclarèrent d’ailleurs directement vouloir de bonnes relations avec notre pays.

Malheureusement, le Conseil fédéral dans son rôle habituel de caniche des USA, ne réfléchit pas une seconde par lui-même et évacua manu militari tous les Suisses travaillant sur place, ainsi que tout le personnel administratif afghan qui ne risquait pourtant aucune représailles pour avoir aidé des missions humanitaires dans leur propre pays.

Cette acte irréfléchi permit à plusieurs centaines d’Afghans et leurs familles de venir vivre en Suisse en tant que réfugiés et ainsi, quitter une société profondément injuste et liberticide pour la vie occidentale. Ces réfugiés sont logés, nourris et soignés gratuitement par la Confédération et les cantons qui leur demandent une participation financière lorsqu’ils commenceront à travailler en Suisse (ce qu’une partie ne fera jamais). On pourrait s’attendre à ce que ces réfugiés soient reconnaissants pour tous ces bienfaits lorsqu’on sait qu’une partie des suisses n’osent plus se faire soigner complètement par peur des factures médicales.

Eh bien pas du tout !

Ils ont d’abord commencé à organiser des manifestations pour se plaindre du permis S octroyé aux Ukrainiens et crier ainsi au racisme.

Avant d’aller pleurer auprès des journalistes gauchistes en disant que c’est dur d’apprendre l’allemand et que les méchants Suisses ne leur trouvent pas d’emploi à leur place et, pire, ne les autorisent pas à aller en vacance voir leur famille en Afghanistan!

Vous croyez que j’exagère? Faites-vous votre propre avis.

Le titre en lui-même est déjà mensonger et scandaleux. Les Suisses en Afghanistan étaient présents pour aider les afghans à ne pas mourir dans la misère. En travaillant avec les Suisses, l’Afghan pleurnichant dans l’article aidait en réalité son propre peuple.

Le fait qu’il se plaigne que la Confédération ne lui est pas livré un travail sur un plateau alors qu’il a reçu un appartement, de l’argent, des vêtements et des soins gratuitement devrait nous suffire à le renvoyer dans le prochain vol direct pour Kaboul. Surtout qu’il précise bien n’avoir rien à craindre là-bas, puisqu’il souhaiterait pouvoir y retourner pour ses vacances en famille…

En plus de l’ingratitude, la communauté afghane nous amène actuellement un autre exemple de richesse culturelle à travers ses jeunes djihadistes. À Sierre, un Afghan de 23 ans déclarant que : « Oui, je suis un djihadiste. Daesh et les talibans sont les meilleurs combattants contre l’Amérique. » est actuellement jugé pour avoir planifié de massacrer des homosexuels et des femmes peu vêtues dans des discothèques. Ce trésor pour la Suisse souhaite être expulsé en Afghanistan. Une mesure salutaire qui ne peut malheureusement pas avoir lieu par manque de relations diplomatiques entre nos deux pays.

Les talibans ayant gagné la guerre, il est plus que temps que la Suisse travaille avec leur gouvernement pour renvoyer les profiteurs ne risquant rien dans leur pays tout en continuant de protéger les autres. La sécurité est un droit mais il n’existe par contre pas de droit à avoir une meilleure vie.