John Doe

L’alliance de la gauche et de la bourgeoisie contre le peuple suisse

On entend souvent l’extrême gauche beugler à tue-tête que l’extrême droite est à la botte du capitalisme. C’est tout bonnement l’hôpital qui se fout de la charité. Pour ces ahuris, le fait d’être classé à la droite de la droite affairiste suffit à crédibiliser leur analyse. Il n’en est rien. Au fil de cet article, nous verrons que c’est carrément l’inverse!

D’un côté, notamment sur les questions économiques, les électeurs de droite radicale se retrouvent parfois à voter par dépit pour le camp de la bourgeoisie représenté par le PLR, tellement les initiatives de gauche sont absurdes et dangereuses pour l’équilibre économique du pays.

D’un autre côté, vous avez des hommes de droite qui aiment l’Ordre mais qui, dans le paradigme actuel du système démocratique, ont des intérêts trop importants d’un point de vue individuel pour risquer de mettre leur situation personnelle en péril. Je peux comprendre ce choix. Nous ne pouvons décemment pas attendre de chacun d’être en première ligne dans une lutte qui semble, à la vue des moyens qui nous font face, perdue d’avance.

Cependant, à leur petite échelle et pour autant qu’ils aient une conscience de peuple, il est tout à fait possible d’exercer une influence positive sur ce mouvement de reconquête par le financement souterrain de notre action. C’est sur le terrain du combat culturel que La Hallebarde est active et c’est avec des dons que nous pouvons poursuivre sur le chemin qui mènera un jour à la victoire de nos idées. Cette victoire aura une traduction dans la réalité politique, soyez-en certain.

Bref. Pour en revenir à l’article, aujourd’hui, c’est sans conteste «l’extrême droite» qui a le plus à cœur la défense des masses prolétariennes suisses. Même s’il est clairement abusif de qualifier l’UDC de parti d’extrême droite, il est indéniable que ses actions sur les dernières votations allaient dans le sens des intérêts du peuple, souvent d’ailleurs seul contre tous.

Il était même souvent très drôle de voir le PS et les Verts aux côtés du PLR pour nuire au bien commun. Voici une petite rétrospective des six dernières années sur les trahisons nées de cette alliance maléfique anti-Suisse et pro-Globalisme :

  • 2016:

Contre le renvoi des criminels étrangers qui pourrissent non pas le quotidien des bourges planqués dans les quartiers hors de prix de Genève, Lausanne et Zürich mais celui des classes moyennes et populaires. La gauche flatte ses «valeurs humanistes» en se refusant à toute forme de renvoi qui lui rappelle les heures les plus sombres de l’histoire.

  • 2017:

Pour la loi sur l’énergie qui condamne la souveraineté énergétique du pays. Mais bon, au moins, on aura le label vert grâce aux panneaux solaires sujets aux aléas de la météo et aux hélices qui tournent au gré du vent. Cet argumentaire fait mouiller tous les gogos gauchistes. Le patronat, lui, a bien saisi l’opportunité de se faire des milliards sur la transition énergétique, quitte à asservir énergétiquement la Suisse à nos voisins. Il va sans dire que si la situation devenait compliquée, leurs intérêts primeront sur notre alimentation en énergie.

  • 2018:

Contre la suppression de la redevance Billag afin de poursuivre le financement de notre propre désinformation. Rien de particulier à ajouter ici, tous ayant intérêt à ce que ce système perdure ad vitam aeternam.

Contre l’autodétermination, soit pour le bafouement du droit suisse au profit des juges étrangers. Le Globalisme exige une standardisation maximale. La gauche trouve sa satisfaction dans la très éthérée égalité censée être assurée par la gouvernance globale, les multinationales de la bourgeoisie dans l’homogénéité des normes juridiques qui facilite le commerce transnational.

  • 2019:

Pour la mise en œuvre de la directive UE sur les armes. À la vue de l’exaspération que suscitent les technocrates de Bruxelles et différentes élites nationales, leurs craintes d’une révolution les poussent à désarmer le peuple. Selon la vulgate démocratique, c’est pourtant le peuple armé qui est garant d’un État libre de toute tentation à caractère despotique de ses dirigeants. Pour la gauche, les armes c’est méchant parce que ça tue.

  • 2020:

Pour l’interdiction de la discrimination en raison de l’orientation sexuelle qui instaure le privilège homo. La propagande étant devenue tellement forte à ce niveau, il faut du courage pour s’y opposer. Les partis naviguent sur la mer de l’opinion publique. Sans oublier que beaucoup d’invertis sont présents dans les partis politiques, de droite comme de gauche. C’est ce qu’on appelle plus souvent «le lobby LGBT».

Contre l’initiative pour une immigration modérée. Pour la gauche, c’est l’amour inconditionnel de l’Autre et, à terme, un potentiel bassin d’électeurs. Et bien sûr, pour la bourgeoisie, de la main-d’œuvre bon marché utilisée pour exercer une pression à la baisse sur les salaires.

  • 2021:

Contre l’initiative sur l’interdiction de se dissimuler le visage. Il s’agissait ici de dévoiler les musulmanes par la force de la loi et d’affirmer par la même occasion qu’on est ici en Occident et que le libéralisme ne peut être invoqué pour affaiblir notre civilisation. Le libéralisme aujourd’hui est autant une valeur revendiquée par la gauche que par la droite bourgeoise.

Pour la restriction des libertés par la loi COVID. Les partis ont parfaitement conscience que les vieux votent en masse. Sur ce sujet, l’extrême gauche proposait même d’aller jusqu’à l’obligation vaccinale pour la protection des personnes immunodéprimées, en attribuant une confiance absolue à la science, quitte à ce que la population sans risque, même les enfants, subisse des effets secondaires indésirables.

L’UDC n’est pas parfaite et serait critiquable à bien des égards. Mais en termes de défense des intérêts du peuple, aucun parti d’ampleur respectable ne fait mieux ni ne l’égalise.

Vous l’aurez compris, à l’heure actuelle, le pragmatisme commande de soutenir l’UDC en (presque) toutes circonstances.

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