John Doe

Le nom et l’enseigne d’un nouveau café communal font polémique

Aujourd’hui, le simple fait d’aimer son pays apparaît aux yeux de certains ahuris paranoïaques comme une propagation de haine et un rejet systématique de l’autre. C’est dans la petite commune de Henniez, dans la Broye, qu’un café communal se voit attaqué pour son nom, le Confédéré, et son enseigne décorée d’une somptueuse hallebarde.

Non, nous ne sommes pas actionnaires du restaurant

La polémique a été lancée par un certain Roland Flückiger, probablement l’idiot du village. Ce dernier a violemment critiqué le nouveau restaurant exploité par la commune dans un tout-ménages distribué aux citoyens, puis a également alerté La Liberté, qui en a fait un article.

Roland estime que ces symboles sont issus d’une idéologie nationaliste et accuse le syndic d’y camoufler une politique d’extrême droite, sous couvert des autres membres de l’exécutif. Il écrit: «Le Confédéré fait référence à nos valeureux petits Suisses qui s’unirent contre l’étranger pour donner naissance, avec le temps, à notre pays. Dommage que l’UDC et les nationalistes utilisent cette particularité de l’histoire pour prodiguer racisme et haine.»

Selon ce boomer, arborer fièrement un symbole patriotique par amour de sa nation cache forcément de la haine. Cette technique utilisée par les gauchistes afin de décrédibiliser leurs adversaires, faute d’arguments pertinents sur le débat de fond, est tout simplement pitoyable. L’amalgame entre le patriotisme et le racisme a été tellement utilisé par ces crétins qu’il en devient has-been.

Mais derrière cette haine anti-Suisse ne se cacherait-il pas autre chose? La Hallebarde, contrairement à nos confrères qui ne voient pas plus loin que le bout de leur pif, a mené sa petite enquête. Selon une réponse d’un autre habitant à la lettre ouverte de Flückiger, il s’avérerait que ce dernier n’est pas qu’un simple garagiste, comme l’affirment les ploucs de La Liberté, mais également l’ancien tenancier d’un autre bistrot du village, aujourd’hui fermé.

Difficile donc de dire si ce guignol a agi par jalousie ou par mépris des idées nationalistes. Quoi qu’il en soit, si la vue d’emblèmes traditionnels suisses le mettent mal à l’aise, nous suggérons tout simplement à Roland de déménager dans des quartiers urbains plus exotiques, en vue de calmer son hystérie.

Heil dir Helvetia !

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