Bien que dans les milieux de droite peu le comprennent, être présent dans un domaine culturel qui touche 78 % des jeunes de 14-24 ans, c’est plutôt important. Vous pouvez le déplorez, comme nous tous, le rap est le style musical préféré des jeunes. C’est donc une arme précieuse que nos idées soient représentées dans ce domaine.
Pour tous ceux qui ont été contaminés par le virus rap durant leur jeunesse, les noms des nouveaux artistes de la scène de droite ne devraient pas être une découverte. L’évolution de ce type de rap durant ces dernières années atteint des niveaux qui n’ont rien à envier au rap mainstream des grandes maisons de disque. Le flow et le style correspondent à tout ce qu’il se fait actuellement dans ce style musical. Tout à l’exception des paroles qui usuellement dans le rap standard crachent sur les Européens et promeuvent une sorte de médiocrité oscillante notamment entre délinquance et vulgarité.
Là où l’industrie musicale propose aux blancs de s’identifier au choix, à des ethno-masochistes, à des droguées rigolos ou fragiles dépressifs. Le rap de droite propose une autre alternative.
Son succès est certes insuffisant au vu de l’apport et du potentiel qu’il représente pour notre cause. Toutefois, les chiffres de ventes impressionnent en perspective de l’exposition qui leur est accordé.
Vivement que comme aux USA nos rappeurs soient arrosés d’argent, qu’ils puissent nous accoler des beaux clips à leurs sons de qualité.
Nous avons vu au fil des années la scène de droite se professionnaliser et coller au plus proche des codes stylistiques du rap actuel. A tel point qu’aujourd’hui, l’offre correspond à celle du marché.
C’est donc à la sortie de l’album « Héritage II » regroupant ce qu’il se fait de mieux actuellement en matière de rap de droite que je me devais d’écrire cet article. Vous serez aussi bien servis si vous appréciez les codes musicaux actuels que par les lyrics qui sont déroutantes pour du rap. Bien dosé, cet album n’est toutefois pas une simple caricature d’un discours de droite avec des chansons qui ne sauraient pas aborder d’autres thèmes que la politique. Il s’inscrit réellement dans un univers métapolitique sans pour autant devenir trop lourd et faire fuir un public curieux. Nous osons prendre le risque de dire que vous ne serez pas déçus.
Pour ceux qui parmi nos lecteurs n’aiment pas le rap et ont plus de 50 ans, vous pouvez vous tourner vers le rappeur patriote Kaotik 747 qui bénéficie lui d’un certain soutient de la part des médias de droite. Malgré qu’il soit au rap ce qu’est Michel Leeb à la communauté africaine.
