John Doe

L’Université de Lausanne décide de dégenrer ses diplômes

On n’arrête pas le progrès! L’UNIL, plus connue sous le nom d’usine à cons lausannoise, a décidé que les diplômes délivrés ne comporteraient plus de mention qui identifie le sexe de la personne. Une décision qui doit faire jubiler le 0,00001% de la population concernée.

Pas sûr que cette devise fonctionne pour les étudiants de droite

Depuis ce mois de janvier, le nom sur le diplôme ne sera plus précédé de «Monsieur» ou «Madame» et il ne sera plus écrit «né le…» ou «née le…» mais «date de naissance : …». «Cette modification fait partie des mesures de la Direction pour une université qui favorise la diversité et assure une meilleure inclusion. Elle permet de s’assurer que chaque membre de la communauté se sente accueilli et respecté», écrit l’UNIL sur son site internet.

L’Université de Lausanne, dont les profs sont autorisés à se coller le derche sur le bitume pendant les heures de cours afin d’emmerder ceux qui bossent, préfère donc dégenrer les 99,99% de ses élèves afin de satisfaire les quelques non-binaires hystériques du campus. Pourquoi ne pas simplement retirer la mention sur demande spécifique de l’élève? On peut supposer que ça représenterait trop de travail administratif pour des employés déjà certainement à la limite du burnout.

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