John Doe

Souissistan: un pédophile afghan prêt à enrichir vos enfants

En 2020, une richesse pour l’Allemagne, venu tout droit d’Afghanistan, a tenu à partager à son nouveau pays d’adoption une vieille tradition de son peuple. Le «bacha-bazi» (en français: jouer avec les garçons) consiste à utiliser de jeunes garçons comme esclaves sexuels. Ce jeu ludique est détaillé dans cet article du Temps datant de 2016.

L’invasion américaine de fin 2001 a immédiatement relancé la pratique. «Maintenant que le régime taliban est tombé dans l’ancien fief sudiste du mollah Omar, ce ne sont pas seulement les téléviseurs, les cerfs-volants et les rasoirs qui ont réémergé, indique le 12 janvier 2002 déjà une dépêche de l’agence Reuters. Des hommes accompagnés de leurs jeunes amants ont aussi refait leur apparition.» Quinze ans plus tard, on ne compte plus les officiers et les seigneurs de guerre pratiquant le «bacha bazi». Dans la province pachtoune d’Uruzgan, «la quasi-totalité des 370 barrages et postes de police […] comptent au moins un jeune esclave sexuel, parfois jusqu’à quatre», révèle une enquête minutieuse de l’Agence France Presse parue le 16 juin dernier.

Cette explosion de pédophilie a épouvanté nombre de militaires américains. Un appointé du nom de Gregory Buckley a raconté, dégoûté, à son père en 2012 qu’il entendait de sa couche des officiers de la police afghane abuser de garçons. Quelques mois plus tôt, en septembre 2011, un capitaine des forces spéciales, Dan Quinn, a été révolté par le témoignage d’une femme venue se plaindre des mauvais traitements infligés à son fils par un commandant de police – un témoignage d’autant plus poignant que le garçon présentait encore aux poignets les traces des liens avec lesquels il avait été attaché au lit de son «maître».

«Tu veux jouer au docteur avec moi?»

Les talibans, peu ouverts à la franche rigolade, avaient décidé de mettre fin à ces pratiques lors de leur courte prise de pouvoir dans les années nonante en balançant des murs dans la gueule des responsables. Heureusement, l’oncle Sam, éprit de justice, permit à ces braves bergers afghans de retrouver les joies du viol d’enfant dès leur arrivée dans le pays en 2001.

Revenons à notre ami allemand, comme dit plus haut, ce futur ingénieur décida de partager son trésor culturel aux enfants germaniques en violant un garçon de 6 ans et une fillette de 8 ans. Intolérants, ces salopards de nazis allemands lui infligèrent une TERRIBLE peine de 3 ans et demi de prison avant de le réexpédier à Kaboul. Conscient de la fragilité des allemands, le barbu revint quelques mois plus tard en Allemagne en passant par la frontière suisse.

Cette fois les allemands allaient passer à la vitesse supérieure et péter les deux jambes au pédophile avant de le larguer en parachute au dessus des montagnes afghanes! Non je plaisante. L’Allemagne déclara ne plus pouvoir expulser ce génie en Afghanistan car les pédophilophobes talibans avaient repris le pouvoir sur place et l’expulsa donc dans le premier pays de l’espace Schengen dans lequel il fût signalé lors de son retour. C’est à dire la Suisse.

Le ventre de la bête immonde est encore fécond

La Suisse, qui verse encore chaque année 30 millions de francs à nos frères talibans a décidé de suivre l’intransigeance allemande en présentant à ce parfait représentant de la pédiatrie afghane une lettre effrayante. Une invitation à quitter le territoire suisse! En effet, les talibans étant méchant, notre ami ne peut pas être renvoyé dans son pays par la Suisse car ce serait très vilain. Le service des migrations a donc décidé de lui faire de gros yeux pas contents jusqu’à ce que celui-ci rentre chez lui par ses propres moyens.

Après cet acte, qui nous rappelle les heures les plus sombres de notre histoire, le corps des gardes frontières repartit à ses occupations composées de contrôles de suisses allant faire leurs courses à l’étranger et libéra notre gentil pédophile dans la nature sans s’intéresser le moins du monde à ce qu’il allait devenir.

Ce taré est donc quelque part en Europe mais tout le monde s’en fou. Pensez à remercier comme il se doit notre Conseil Fédéral au cas où un membre de votre famille finit par être enrichi par cet homme incompris.

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