John Doe

Un Kosovar socialiste souhaite moderniser notre pays arriéré

Je suis un peu soupe au lait. Une initiative pour saloper le passeport suisse a été lancée par un socialiste au patronyme particulièrement balkanique.

Rts.ch

Une initiative populaire issue de la société civile veut permettre la naturalisation aux personnes vivant en Suisse depuis cinq ans, à condition qu’elles n’aient pas été condamnées à une peine de prison longue durée et qu’elles aient des connaissances de base d’une langue nationale.

Pour votre information, dans la novlangue RTSienne, «la société civile» désigne le parti socialiste. Heureusement, la société civile a pensé à tout, notamment aux cris d’orfraie que poussent les fachos qui s’insurgent contre ce genre de proposition qui mène le pays tout droit vers le désastre comme la France (exemple pris au hasard).

Elle a donc prévu de ne pas attribuer ce précieux sésame à celles et ceux qui ne sauraient chanter Hallo Susi Guten Morgen sans faire plus de 68 fautes.

L’initiative a été lancée par « Aktion Vierviertel » (« Action Quatre quart »), qui dénonce une « politique d’exclusion ». Pour le président de l’association, Arber Bullakaj, membre du parti socialiste, il faut mettre fin aux absurdités du système actuel.

Un type qui se fait appeler Arber (Arbre, en français) nous explique que le système suisse est totalement has been et qu’il a la solution pour remettre un peu de cohérence dans tout ce bordel helvétique.

« Il y a aujourd’hui autant de lois sur la naturalisation que de communes. Chaque canton, chaque commune le fait différemment, c’est absurde, alors qu’on parle d’une même Suisse », dénonce-t-il dans le 12h30 de la RTS.

Il poursuit: « La loi n’est pas alignée sur la réalité actuelle. Nous avons des délais d’habitation communale et cantonale. Les gens ne peuvent pas déménager, sinon le processus recommence de zéro, ce qui ne correspond pas à la mobilité de la population.

« Et ce qui est très important avec notre initiative, c’est d’arrêter avec l’arbitraire lié à la vie en général du candidat, à ladite intégration, avec des refus basés sur un ressenti subjectif quant à la réalisation des critères », conclut Arber Bullakaj. La récolte des signatures doit débuter dans quelques semaines.

Oui, il faut arrêter avec tous ces racistes qui jugent. Ces Suisses n’ont décidemment pas évolué d’un iota depuis l’accueil des réfugiés yougoslaves.

Rien qu’en lisant l’introduction de l’article du Temps, on perçoit la soif de destruction qui anime ce triste conifère.

Letemps.ch

En devenant Suisse, son combat n’a fait que commencer. Arber Bullakaj milite à la tête d’une association qui prépare une initiative populaire pour accorder la naturalisation à tous les résidents étrangers de plus de quatre ans en Suisse.

À peine obtenu sa nationalité suisse, ce qui est en soi déjà scandaleux, Arbre s’est mis à militer très activement contre les intérêts du pays en créant une association pour lancer son initiative xénophile merdique.

Ce «Suisse comme vous et moi» est maintenant tout aussi légitime que vous et moi pour donner son avis sur le système de naturalisation qu’il compte bien réformer.

Militant socialiste

Jusqu’à preuve du contraire, la guerre est terminée depuis belle lurette au Kosovo et plutôt que de lui avoir donné l’occasion d’emmerder le peuple suisse en lui octroyant la nationalité, nous aurions dû réexpédier Arbuste manu-militari dans son bled paumé pour aller lancer des initiatives favorables à la naturalisation d’étrangers chez lui.

Je ne suis pas sûr que ses congénères seraient très conciliants. Ce serait scier la branche sur laquelle il est assis.

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