John Doe

Une chance pour Zürich piétine une femme et en bastonne une autre

Le titre de l’article peut sembler quelque peu accusateur. Mais il faut bien comprendre la situation décrite ci-dessous. Ces femmes avaient joué les allumeuses, elles ont donc leur part de responsabilité dans cette affaire.

20min.ch

Dimanche soir, vers 20 heures, une femme a été agressée à la gare centrale de Zurich. Un témoin a raconté à «20 Minuten» avoir vu une dame allongée sur le sol. «Elle était inconsciente, couchée dans une mare de sang.» Un homme continuait de la frapper à coups de pied. Une femme a tenté de porter secours à la victime et a aussi reçu des coups. Les deux femmes ont dû être hospitalisées, la première avec de graves blessures à la tête, indique lundi la police dans un communiqué.

Tradition patriarcale zurichoise oblige, une femme qui ose s’interposer face à un homme en train d’en terminer une autre à coup de pied au visage se doit d’être disciplinée à l’uppercut au menton.

Les autorités indiquent qu’un homme de 26 ans, de nationalité érythréenne, a agressé une Italienne de 55 ans. Il s’en est ensuite pris à une jeune femme de 16 ans qui voulait aider la première victime. Le suspect a été arrêté peu après. Il sera entendu par le Ministère public zurichois. Entre vendredi soir et dimanche, la police a effectué 140 contrôles à la gare centrale.

Sans aucune pression, 20 minutes cite la nationalité du coupable, comme si c’était normal. Ce racisme décomplexé distillé par Tamedia est une honte pour le journalisme suisse.

Neuf personnes ont été appréhendées, dont deux pour avoir commis plusieurs vols. Deux autres groupes de personnes ont été arrêtés en possession de divers biens probablement volés. Il s’agit de ressortissants algériens ou marocains, précise la police. Dans le cadre de ces contrôles, une trentaine d’expulsions du périmètre de la gare ont été prononcées.

Vous le savez, la criminalité étrangère est un mythe inventé par l’extrême droite pour créer des amalgames et ainsi susciter la haine à l’égard de pauvres gens qui ont bravé tous les dangers dans l’unique but d’obtenir une vie meilleure. La haine entraînant la haine, c’est donc la faute aux fachos si ces femmes ont fini à l’hosto.

CQFD

Trêve de plaisanterie. Les seuls responsables dans cette histoire sont les politiciens qui, les uns par humanisme dévoyé, les autres pour compenser la dénatalité et renflouer les caisses de retraite, préfèrent laisser entrer des désastres pour la Suisse, quitte à ce que ces derniers tabassent, vitrifient ou violent des femmes autochtones.

Il faut absolument que ce genre d’affaire soit rediffusé en masse. Qu’elles soient gauchistes ou non, La Hallebarde témoigne tout son soutien à ces victimes de la politique d’invasion décidée par nos autorités traîtresses.

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