John Doe

Gauche et droite unies pour que les travestis éduquent vos enfants

Le mois dernier, un lieu «culturel» zurichois, subventionné par la ville, a lancé un cycle de lecture sur les sujets LGBTQY²/3+B. Rien de bien étonnant au premier abord excepté que ces séances sont réalisées pour les enfants et dirigées par un «Drag-queen», c’est à dire un homme exagérément maquillé pour ressembler à une prostituée.

La sexualisation et la politisation des enfants sont une lubie bien connue de la gauche de ces dernières décennies. Le but affiché est d’embrigader la jeunesse dès le plus jeune âge pour faire passer des comportements marginaux et excentriques pour des faits normaux et sains. Une inversion totale des valeurs en somme.

Les nationalistes de Junge Tat ont donc décidé de mettre en lumière cette folie en s’y rendant pour y scander des slogans tout en déployant une banderole contre l’idéologie du genre.

La réponse du système ne s’est pas fait attendre. Des dizaines d’articles dénonçant le «néo-nazisme» supposé des membres de Junge Tat sont apparus et tous les partis (sauf une partie de l’UDC) ont appelé à combattre «l’extrême droite».

Dangereux nazis vilains

Pour résumer, de jeunes Suisses patriotes demandant l’arrêt de la sexualisation de la jeunesse sont montrés du doigts comme étant des réincarnations d’Adolf Hitler tandis que des hommes déguisés en putes et faisant de la propagande envers les enfants sont mis en avant comme des symboles de la démocratie avec la bénédiction de la gauche, du Centre et du PLR. Quel pays formidable.

Pour ne rien arranger, il se trouve que ces lectures LGBT%*Pythagore par des travestis ne sont pas des faits réservés à la ville de Zurich. La médiathèque du Valais organise régulièrement ces lectures «inclusives» pour les enfants sur son site de Martigny en compagnie du travesti Tralala Lita

Défenseurs des valeurs démocratiques

Nous laissons à nos lecteurs le soin d’exprimer, respectueusement et sans haine, leur opinion sur cet événement à la médiathèque: [email protected]
Nous serions curieux de savoir si le peuple valaisan soutient ce genre d’initiatives de propagande réalisées avec ses impôts.

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