John Doe

Faites des enfants

Une des grandes conséquences du déracinement de nos peuples, de l’américanisation de nos esprits et de l’abandon de notre foi est la dénatalisation massive de notre continent.

Sans aucun objectif sur le long terme, à part celui de jouir, une bonne partie des jeunes se complaisent dans un statut d’éternel adolescent. Ne voyant pas leurs responsabilités en tant que membres organiques de leur famille et de leur nation, ils perdent goût à la vie et refusent de s’installer dans une stabilité qui les angoisse terriblement. Privés de verticalité et de toute vision spirituelle de l’amour, leurs relations sentimentales se changent en produit de consommations périssables et changeables lorsque l’ennui se fait sentir. Un enfant naissant de ces relations charnelles est vu comme un accident arrivé trop tôt et destiné à la poubelle. Il ne faudrait pas gâcher la vie professionnelle de mademoiselle et puis… la planète est surpeuplée… avorter ne serait-il pas dans ce cas-là un acte de militantisme écologique?

Le temps faisant malgré tout effet sur leur corps, certains de nos adolescents mentaux vont quand même chercher à construire finalement un semblant de famille avec leur dernier partenaire du moment avant que l’horloge biologique finisse de faire son travail. Ces relations, faites pour rentrer dans le moule social du bourgeois occidental, finissent la moitié du temps par un divorce et deux enfants. Deux car comme les hamsters, le premier risque de s’ennuyer tout seul.

Voici le triste constat de notre société occidentale déconnectée de Dieu et cherchant à se suicider à tout prix.

Sur d’autres continents, la réalité sociale est tout autre chez ceux qui, un jour, nous succèderont sur nos terres. Encore conscients de leur responsabilité vis-à-vis de leur famille, de leur clan et grandissant dans des sociétés profondément religieuses, avoir beaucoup d’enfants leur semble encore naturel.

Au Niger, le taux de fécondité par femme est de 7 enfants. En Suisse, ce même taux se monte à 1,46 par femme… Ce chiffre est en dessous de 2 dans toute l’Europe. C’est-à-dire que nous n’avons pas un taux nous permettant de nous maintenir et que nos ethnies vont devenir avec le temps de plus en plus rares. Si nous lions ça au métissage d’une partie de nos membres avec des non-européens, on peu imaginer, sans trop exagérer, que nous serons minoritaires en tant que Blancs en Europe avant la fin de notre siècle.

Un suicide civilisationnel et ethnique
L’avenir leur appartient

Devant ce fait mathématique, chaque nationaliste a le devoir de faire le plus d’enfants possibles. Bien que minoritaires, notre culture, notre civilisation et notre race doivent survivre. Nous sommes les héritiers d’Athènes et de Sparte, de Rome et du Saint-Empire romain germanique, des évangélisateurs et des martyrs, des Helvètes et des Waldstätten. Nous ne pouvons pas laisser cet immense héritage mourir avec nous. Cultivons-nous, rassemblons-nous et reproduisons-nous afin que notre flamme ne s’éteigne jamais!

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