John Doe

Rome est-elle notre avenir ? 

Revenir aux fondamentaux a été pour moi une révélation. Je suis profondément romain. Romain d’esprit de par ma culture, romain de coeur dans mes combats, romain de tradition dans ma religion.

Città eterna

Comment combattre ?

Je pourrais vous donner pour modèle les batailles de l’Empire ou de la Papauté. À ce moment-là, je m’éterniserais sur la bataille de Lépante. Mais le but n’est pas de revenir à un passé fantasmé mais de voir la guerre dans l’actualité. Les batailles, nous devons à tout prix les gagner maintenant.

Casapound, qui lutte depuis quasiment 20 ans, est un exemple pour nous, jeunes Européens. La structure ne cesse de combattre avec honneur et fidélité, d’inspirer des milliers de militants à travers le monde.

La différence entre eux et beaucoup d’autres organisations, c’est l’attitude générale de leurs membres: polis, calmes, cordiaux. Ils sont tous capables de se défendre physiquement mais ils n’ont pas besoin d’être agressifs ou de faire peur aux gens. 

La force tranquille est leur symbole. Aussi surprenant que cela puisse paraître aujourd’hui, la paix n’est que la tranquillité de l’ordre. Et cette tranquillité, ils veulent l’obtenir en criant Fare Quadrato. Faire le carré, c’est obéir ensemble à l’officier qui donne l’ordre. Faire le carré, ce n’est pas le désordre des petites individualités qui choisissent, chacune pour elle-même. Alors cette forme de sérieux, de patience et de discipline – chacun à sa place – oui, ça coûte mais c’est là le coût de la force tranquille. 

CasaPound Italia devant le Panthéon

NOUS DEVONS TOUS ÊTRE PROFONDÉMENT ROMAINS. Ne luttons pas chacun pour soi mais combattons en légions. Nous sommes certes dispersés dans toute l’Europe mais nous ne devons pas être divisés, sans ordre et sans réel espoir. Chaque démarche est bonne à prendre. Mais toutes ces démarches doivent être coordonnées pour ne pas s’annuler. Faites quelque chose car c’est vous l’artisan de cette vraie résistance. Une résistance morale, et profondément chrétienne, concrète et non pas simplement, facilement passive.

Je finirai par un passage de Georges Guiscard à méditer : 

« Si les Européens finissaient par oublier ce qu’ils sont ou par devenir minoritaires sur leur propre sol, il serait illusoire de croire qu’ils pourraient continuer à y imposer leurs modes de vie, leurs représentations, leurs problématiques, leur être au monde. C’est ce que savent bien ceux qui veulent à la fois « abolir la race blanche » et « détruire l’Occident » au nom du combat contre le privilège blanc. C’est leur but, conscient ou non, assumé ou pas. Ce qui est attaqué, c’est bel et bien tout ce qui fonde l’être de l’Européen, sa culture et, au-delà, les fondements anthropologiques de la possibilité même d’une culture qui lui est propre. »

Georges Guiscard
Le privilège blanc. Qui veut faire la peau aux Européens ?
, éditions La Nouvelle Librairie, coll. Iliade, 2021

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