John Doe

Des militants LGBT psychotiques perturbent une conférence à l’UNIGE

Encore un article du 20 Minutes qu’un ami m’a fait suivre, cet homme me veut du mal.

20min.ch

C’est avec une banderole «la transphobie tue» et aux cris d’«assassins» qu’une quinzaine de militants trans et sympathisants ont interrompu vendredi soir une conférence organisée par le Centre de psychanalyse Suisse romande, à qui l’Université avait loué une salle d’Uni Bastions. Lors de leur irruption, quelque 150 personnes (un tiers sur place, le reste par zoom) assistaient à la présentation du livre «La fabrique de l’enfant transgenre – comment protéger les mineurs d’un scandale sanitaire?» par ses auteurs, Céline Masson et Caroline Eliacheff. Le propos de cette dernière, exprimé notamment à Sud radio le 24 mars, est, de manière très résumée, le suivant: il faut écouter la souffrance parfois très grave des jeunes, mais aucune intervention médicale irréversible ne doit être menée avant la majorité.

15 hommes déguisés en femmes et vice-versa débarquent à l’Université de Genève en traitant d’«assassins» les deux auteures juives de ce livre. J’espère que la CICAD va intervenir pour remettre de l’ordre parmi ces détraqués. Cet événement doit a minima être comptabilisé comme un acte antisémite.

Pour les militants, il s’agit d’un discours «ouvertement transphobe» qui n’a pas sa place à l’Université. «Nous jugeons qu’en l’accueillant, elle rend ce propos audible et tolérable.» Dans un communiqué, ils expliquent que dans le public se trouvaient des psychiatres «qui sont et seront en capacité effective de bloquer l’accès à la transition à des patient.es qui en ont un besoin vital. (…) Dans ce contexte, c’est pratiquement un enjeu de santé publique que de montrer une opposition à leur propagande

Joint par téléphone et confronté au fait que le propos de la conférencière n’apparaît pas outrancier, un activiste juge que «dans les discours anti-trans, l’attaque vient toujours par les enfants. C’est un angle qui les place dans le camp du bien. Or, l’accès à une médicalisation améliore la qualité de vie. Empêcher une transition a un impact direct sur la santé mentale et peut mener au suicide.» Par conséquent, il explique que les militants sont opposés à tout débat («un instrument des dominants pour canaliser la colère des dominé.es», écrivent-ils), dès lors que «débattre d’un discours, c’est déjà le considérer audible».

Protéger les enfants d’une transition irréversible est naturellement considéré par le lobby LGBT comme une attaque contre leur droit à convertir un maximum de gosses aux traitements hormonaux.

À l’instar de leurs connexions neuronales, l’inversion de la réalité est totale. Il existe certes des situations extrêmement rares de nouveau-nés dont le sexe n’est pas défini et qui nécessitent une opération au choix des parents. Mais pour la majorité des cas, le mal-être qui mène au suicide est de nature différente d’une dysphorie de genre. Au contraire, le changement de sexe va même aggraver la détresse psychique de la jeune victime de cette propagande criminelle.

Cette posture et l’intrusion qui a conduit les conférenciers et l’assistance à quitter les lieux et à déménager pour poursuivre la conférence a heurté une femme qui la suivait par zoom. «J’ai été choquée. Traiter les gens de transphobes, d’assassins, c’est violent, pas constructif. Je comprends qu’il puisse y avoir du militantisme, mais la manière de faire est contraire à la liberté d’expression.» Contextualisant le débat, elle explique que deux courants de pensée traversent le monde scientifique. «L’un préconise de suivre l’impulsion de l’enfant et de médicaliser très vite, l’autre défend le fait d’attendre. Ces deux positions sont légitimes. Traiter les tenants de l’une d’assassins est très violent. Se poser des questions à propos de la médicalisation précoce, ce n’est pas encore voter Trump ou Le Pen, et encore moins être transphobe.»

[…]

Je le répète, 15 femmes à barbe suffisent à faire déménager une conférence universitaire. Il va devenir nécessaire d’avoir un service d’ordre pour mater ces comportements pathologiques. C’est exactement pour ce genre d’événements que les trans suscitent la haine et le dégoût.

En Suisse, depuis le vote stupide du privilège homo, rappeler à des militants LGBT qui se comportent comme des malades mentaux qu’ils sont effectivement des malades mentaux, c’est se risquer à être traîné en justice et condamné pour transphobie.

On notera toutefois la petite touche personnelle du 20min sur le lien entre populisme et transphobie. Arrêtez avec ce merdia!

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