John Doe

Le collectif Némésis se fait encore exclure d’une manifestation féministe

Jeudi 14 juin dernier avait lieu la fameuse grève des femmes dans la capitale vaudoise. Plusieurs milliers d’entre elles s’y sont rendues. Cependant, un petit groupe s’est vu refuser l’accès à la manifestation et ceci pour la 3ème fois consécutive.

Les trois filles en question appartiennent au collectif féministe Némésis. Il est le seul groupe qui, pendant que les autres préfèrent se voiler la face, attire l’attention sur la surreprésentation des étrangers chez les agresseurs, ce qui, nous le savons aujourd’hui, apparaît aux yeux des gauchistes comme du racisme et de l’intolérance pure et dure. Ces malandrins, avec l’appui des médias, se font un malin plaisir à les qualifier d’extrémistes de droite, voir même de néo-nazies pour les plus attardés d’entre eux.

Les trois démons d’extrême droite

On se demande quand même pourquoi un groupe de jeunes filles patriotes défendant les valeurs européennes n’auraient pas leur place au sein de ces manifestations. Pour comprendre, il suffit de se pencher un peu sur les organisateurs. On constate en fouillant sur leurs réseaux qu’ils se revendiquent ouvertement antifascistes. Il suffit ensuite d’observer cinq minutes le défilé pour voir que celui-ci est composé en grande majorité de crasseuses anarchistes aux cheveux bleus et aisselles poilues… bref tout s’explique!

Le service d’ordre faisant preuve d’un courage impressionnant en expulsant trois neo-nazies agressives de la manif.

Ces intellectuels n’ont donc pas hésité une seule seconde, au nom de leur militantisme d’extrême gauche délirant, à envoyer le service d’ordre composé de justiciers bien-pensants en jupe rouge chevauchant des bicyclettes afin de dégager de la manif toute personne ayant une idéologie un peu différente de la leur, pourtant venues manifester ce jour-là pour la même cause. Encore une magnifique preuve de tolérance et d’ouverture d’esprit!

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