John Doe

Le gouverneur paraplégique du Texas déporte ses chicanos à New-York

Il est tout à fait possible d’être invalide tout en étant un oppresseur. Il suffit d’être un homme blanc.

Rts.ch

Les migrants ne cessent d’affluer dans les grandes villes de la côte Est américaine, en provenance du Texas, là où ils ont franchi la frontière. Le gouverneur texan, le républicain Greg Abbott, refuse de les garder et les expédie par bus, sans prévenir, vers les métropoles.

Ce Greg Abbott ne s’abaisse pas au chantage migratoire, comme en est coutumier le sultan Erdogan. Non, lui préfère envoyer à l’intelligentsia dégénérée ce qu’elle quémande sous couvert d’humanité, à savoir son lot d’esclaves. Aucun doute, du sang sudiste coule dans les veines de ce gouverneur texan.

La manœuvre fait polémique et a été critiquée jusqu’au sommet de l’Etat. A New York, le maire a déclaré l’état d’urgence et les associations tentent de s’organiser.

Branle-bas de combat pour la ville de New York qui manque cruellement de vélos pour tous ces futurs livreurs Uber. Les autorités locales devraient réfléchir à réquisitionner en urgence les bicyclettes des bobos démocrates.

Depuis quelques semaines, l’église Sainte Rita dans le Queens, comme de nombreuses organisations new-yorkaises, tente de venir en aide aux migrants et demandeurs d’asile récemment arrivés dans la ville, comme Manuela, une Vénézuelienne de 26 ans accompagnée de sa fille et son mari.

« On nous donne de la nourriture et des vêtements. Et nous sommes logés dans une chambre d’hôtel tous les trois », a expliqué Manuela dans La Matinale de lundi.

Elle et sa famille sont arrivées il y a 2 semaines après un long voyage périlleux. « On a mis 28-30 jours. On a marché, pris des bus. On a quitté notre pays à cause de la crise économique, du manque de travail. »

Comme pour tous les pays occidentaux, la raison principale de l’invasion qu’ils subissent est d’abord économique. L’Office fédéral de la Vérité a produit un graphique attestant de ce fait pour la Suisse.

L’asile ne concerne en réalité que très peu de cas, ce qui n’empêche pas les ennemis du peuple d’en faire référence pour culpabiliser un autochtone dès l’instant où ce dernier se montre un peu trop sceptique à l’idée d’accueillir tous les jeunes cadres dynamiques qui fuient leurs terres de désolation.

Manuela fait partie de plus de 21’000 migrants expédiés en bus depuis la frontière sud des Etats-Unis par le gouverneur républicain du Texas.

Ils arrivent souvent épuisés, affamés et perdus, selon Helen Foster de l’église Sainte Rita. « Ils leur disent juste qu’il faut partir. Ils sont mis dans un bus, leurs enfants sont dans un autre… Ils sont vraiment traités comme du bétail. »

« C’est vraiment dégoûtant de voir que des êtres humains sont utilisés comme des pions dans un jeu politique. C’est scandaleux… Ça me dépasse », a encore relevé Mariposa, membre d’une association de défense des migrants.

La journaliste musulmane ne fait aucunement preuve de parti pris lorsqu’elle choisit de rapporter les états d’âme de ces militantes universalistes. Cette neutralité objective a le mérite de suggérer que l’Église catholique et les associations de défense des migrants travaillent main dans la main pour que la ventilation des migrants se déroule dans les meilleures conditions possibles.

La ville de New York qui fait déjà face à une crise de logement se retrouve dépassée par ces arrivées massives. La prise en charge de ces migrants devrait coûter plus de 600 millions de dollars à la ville.

Submersion totale des villes de gauche par le trop-plein démographique du tiers-monde. C’est la seule façon de ramener à la réalité tous ces Blancs urbains habités par le démon égalitariste.

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