C’est une nouvelle dont on ne voit pourtant nulle trace dans les médias européens, Daily Mail excepté. Le tabloïd britannique reprend l’enquête exclusive du média conservateur américain Townhall, dont la première partie parue le 17 janvier dernier est abondamment commentée dans la presse outre-Atlantique. Choquante, l’enquête révèle les mœurs les plus sordides et écœurantes commises par un couple de sympathiques militants gay, influenceurs sur Instagram, sur leurs «fils» adoptifs. William Dale Zulock, fonctionnaire de 33 ans, et Zachary Jacoby Zulock, banquier âgé de 35 ans, sont accusés, photos, vidéos, et screenshots à l’appui, d’avoir utilisé les médias sociaux, notamment le célèbre Grindr, pour prostituer leurs deux «fils» aujourd’hui déjà âgés de 11 et 9 ans. Imaginez quand leur cauchemar a commencé!
Les deux monstres sont inculpés depuis août 2022 pour inceste, sodomie aggravée, pédophilie aggravée, exploitation sexuelle d’enfants et prostitution de mineurs. Les investigations de Townhall révèlent en outre qu’ils auraient vendu leurs «fils» à deux autres hommes dans un réseau pédophile.
Et de tout cela, pas un mot chez nous, pourtant prompts à affoler la ménagère avec des nouvelles sensationnalistes et émotionnelles. La presse est d’ordinaire toujours sur les dents pour dénicher le plus petit cas de soupçon de pédophilie chez les hommes de Dieu, susciter ainsi la haine de la soutane et justifier la destruction des églises par les laïcards acharnés et leurs alliés mahométans. Et ce, alors que les cas de prêtres pédophiles sont statistiquement bien moindres que chez les enseignants, entraîneurs sportifs ou puériculteurs. Et là, un cas avéré, documenté, sourcé de pédophilie incestueuse sordide leur est servi sur un plateau d’argent… mais silence radio. La raison en est simple: Censure. Les grands patrons ne voudraient surtout pas offenser leurs nombreux amis, adeptes plus ou moins présumés de ces mœurs nauséeuses, ni divulguer publiquement leurs accointances avec les mœurs les plus moralement discutables.
Comment accuser un couple gay blanc, riche, apparemment épanoui, «papas» de «deux enfants merveilleux» (sic sur leur profil Instagram), soutiens des «vaccins» et des mesures sanitaires gouvernementales, qui constituent en outre une assurance tous risques pour leurs parties fines? Grâce aux clichés reçus par Hunter Clay Lawless, 27 ans, un soir d’été 2022. Cet utilisateur de Grindr avait déjà été invité «à plusieurs reprises» sur Grindr et Snapchat à venir abuser de leurs garçons. Mais ce soir-là, il reçut le message suivant: «I’m going to fuck my son tonight. Stand by.» («Je vais baiser mon fils ce soir. Passe donc.»), accompagné de photos d’un des «pères» abusant de son fils de 11 ans.
Petite anecdote croustillante: au moment du raid policier pour arrêter ces dignes militants et représentants de la cause XYZ+, William a été trainé de son domicile nu comme un ver. Dieu sait ce qu’il faisait au moment où la police a procédé à son arrestation, d’autant plus qu’il admit avoir forcé un de ses fils à pratiquer du sexe oral sur lui «dans le but de satisfaire son propre désir sexuel.»
Ces créatures sont de purs représentants de leur communauté acronymique et alphabétique dont ils étaient membres militants et actifs au sein de l’antenne de leur quartier huppé d’Atlanta. On se demande ce que cachent vraiment les communautés «arc-en-ciel» dans leurs tentatives d’incorporer toutes les sexualités et paraphilies (on ne peut plus dire déviances de nos jours en raison des lois contre la discrimination). Les médias américains se déchainent, mais les nôtres se taisent. Sujet trop sensible, ou trop proche de la réalité que la plèbe ne doit pas voir. Il faut garder le mythe d’un militantisme gay mainstream et aussi innocent que la licorne qui leur sert d’icône.
Nous terminerons avec le plus gros scandale de l’affaire – car en soit, nous savons bien que le milieu concerné demeure interlope malgré tous ses efforts de respectabilité: drogues, stupéfiants, culture du viol, hypersexualité et hypersexualisation, quête de jeunesse perpétuelle confinant à l’éphébophile et ses dérives prépubères, comme c’est ici avéré (notez que les sources sont toutes issues de médias progressistes). Non, le plus gros scandale revient à cette agence d’adoption «spécialisée» qui a l’outrecuidance de se prétendre «chrétienne». Certes, on le sait, les marxistes, les maçons et les athées ont infiltré l’Église dès les années 1930; ils ont pris le pouvoir lors du concile Vatican II et la décrédibilisent depuis avec leurs actes d’apostasie et de pédophilie. Le mot «chrétien» n’est pas pour autant devenu synonyme de «pédophile».
Aucune agence digne de sa foi chrétienne ne commettrait l’affront de priver volontairement un enfant de ses parents biologiques, ni de nier les rôles essentiels des référents «père» et «mère» dans la construction sociale de l’identité sexuée de l’enfant. Il conviendrait donc a minima de trainer cette agence sur le banc des accusés pour abus sur mineurs, traite d’êtres humains, et complicité d’exploitation sexuelle sur mineurs, voire de lui retirer son épithète «chrétienne» pour «satanique». Quoiqu’il en soit, fournir des gosses à des pédophiles homosexuels ne fait clairement pas bon ton sur un rapport d’activités, que l’on soit chrétien ou non.
Tibulle