Le 22 juin dernier à Paris, la violoniste d’origine jurassienne Julie Berthollet, qui vit dans la capitale française depuis plus de cinq ans, a été agressée à plusieurs reprises. Selon ses dires, un premier homme aurait tenté de lui voler son téléphone, mais en vain. Un peu plus tard, c’est dans le métro qu’une deuxième chance pour la France l’aurait dépouillée de ses bijoux en la menaçant avec un couteau. Les violences se seraient déroulées dans l’indifférence générale, tant les agressions sont devenues monnaie courante dans cette poubelle européenne qu’est Paris. Pauvre France.
Étonnamment, la jeune femme et les médias qui ont relayé l’affaire ne mentionnent nulle part l’origine des agresseurs. Peut-être que notre chère Julie n’a pas voulu nuire à la réputation des pauvres migrants d’origine extra-européenne qu’elle affectionne tant.
N’en étant apparemment pas à sa première agression, notre compatriote aurait décidé de revenir vivre dans sa paisible et tendre terre natale, loin des déchetteries humaines « où l’individualisme est omniprésent ». Espérons que cette triste épreuve l’aide à prendre conscience des réels problèmes à l’origine de l’insécurité culminante dans notre pays et nos pays voisins.