John Doe

Des migrants s’insurgent contre la gastronomie aux vers de Vallorbe

Le programme de Schwab pour faire bouffer des insectes et des vers aux gueux ne plaît guère à nos invités du quart-monde.

Rts.ch

Un collectif s’indigne de l’insalubrité d’un repas servi lundi au Centre fédéral pour requérants d’asile de Vallorbe. Les personnes hébergées ont eu la mauvaise surprise d’y découvrir des vers dans leurs assiette. Depuis, la polémique enfle.

Tout est parti d’une photo publiée sur les réseaux sociaux par « Droit de rester », un collectif de soutien aux personnes migrantes. On y voit une fourchette et, dessus, des vers plus gros que les grains de riz qu’ils côtoient. L’image, peu ragoûtante, a été prise par un requérant d’asile logeant dans le Centre fédéral de Vallorbe.

«Droit de parasiter» est une association immigrationniste qui milite pour l’invasion totale du pays. Vous avez un aperçu de leur psyché pétée en une seule phrase glanée sur leur site affreux dans laquelle figure une vilaine faute d’orthographe:

Aujourd’hui, en Suisse, les lois régissant l’asile de sont durcies à tel point qu’au nom de la solidarité ou même du simple bon sens, la désobéissance civile est devenue nécessaire.

Des gens sains d’esprit.

Contacté par la RTS, le Secrétariat d’Etat aux migrations (SEM) confirme la présence de vers, mais assure avoir réagi immédiatement pour connaître l’origine du problème. Des prélèvements ont notamment été effectués par une entreprise privée, dont les résultats sont attendus dans les jours à venir.

Selon « Droit de rester », il semblerait que la présence de vers ne soit pas une première, bien que le collectif n’en ait pas la preuve formelle.

Dans ce cas, pourquoi rapporter cette information s’il n’existe aucune preuve la confirmant? La RTS incite clairement à la haine envers le SEM, c’est intolérable.

Le centre a seulement voulu faire plaisir aux requérants en imitant leur cuisine locale

Il dénonce en revanche la qualité médiocre des repas servis quotidiennement au Centre de Vallorbe, mais aussi ailleurs en Suisse. Selon le collectif, une nourriture au « goût indescriptible, comme si elle était restée plusieurs jours hors du frigo », figure au menu. Il pointe également du doigt l’interdiction aux requérants d’apporter leur propre nourriture.

Le SEM balaie ces différentes critiques. Les plats correspondent aux standards, qu’il a lui-même définis. Des épices mises à disposition permettent à chacun d’assaisonner son plat.

Le SEM troll le collectif de dhimmi «Droit d’envahir», et à raison. Qu’ils assaisonnent leur plat aux vers et arrêtent de nous pomper l’air, déjà qu’ils nous pompent notre fric.

Quid de la nourriture achetée à l’extérieur? Le SEM confirme que, pour des raisons d’hygiène, certains aliments périssables ne peuvent pas être introduits dans les centres par les résidents.

Il s’agit notamment des fruits et légumes, viandes, poissons et autres produits laitiers. Mais cela ne concerne pas les aliments dont la durée de conservation est plus longue, comme les chips, les biscuits ou encore les fruits secs.

Heureusement qu’il existe des restrictions sur la nourriture, les types seraient capables de venir avec un poulet volé fraîchement sacrifié pour se le caler sous l’oreiller en attendant les 4 heures.

Entretemps, les confrères du Matin ont eu le fin mot de l’histoire.

Vos impôts seront dorénavant utilisés pour offrir une visite chez l’ophtalmo à tous les requérants.

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