John Doe

Poursuivant son ascension vers les étoiles, La Hallebarde passe dans le 19h30

Enfin, nous y voilà. La Hallebarde est propulsée au devant de la scène médiatique, là où se trouve réellement sa place.

Avant toute chose, nous tenons à féliciter notre rédacteur Pythéas pour s’être vu cité par la RTS avec son article sur l’avortement aux États-Unis.

Rts.ch

Extrait de notre succès

Un immense merci également à notre attachée de presse Clémence Vonlanthen pour son travail de propagande au bénéfice de notre média. Nous n’en serions pas là sans elle. C’est un très beau témoignage de son affection pour notre bord politique et un acte de courage qui force l’admiration.

Il est donc temps de lui faire honneur en répondant à ses questions point par point comme nous l’aurions fait face à elle si ses supérieurs n’avaient pas fait preuve d’autant d’arrogance et d’irrespect à notre encontre.

Pour la petite histoire

Il y a de cela quelques semaines, Clémence nous a contactés pour faire un reportage sur les médias qui se revendiquaient ouvertement de droite.

L’interview consistait en sept questions à développement sur lesquelles devait être isolé un passage de 45 secondes tout au plus. Bien que ceci fut déjà d’un mépris total en soi, nous étions prêts à accepter à condition que nous puissions aussi filmer l’interview, au cas où leur viendrait l’idée lunaire de nous dépeindre sous un mauvais jour.

Sans grande surprise, ils n’acceptèrent pas, à moins de signer une décharge attestant que notre version ne serait jamais diffusée, sous aucun prétexte. C’est donc le cœur serré que nous avons dû décliner le rencard proposé par la douce Clémence et son sourire Colgate qui ferait chavirer le plus radical des droitards.

Notre premier flirt

L’interview

Quelle identité et ton de la Hallebarde?

Notre page de présentation a été créée spécialement pour répondre à cette question. Nous vous invitons à cliquer sur notre logo ci-dessous pour en savoir plus.

La Hallebarde

Vous êtes très critiques à l’égard des médias traditionnels, que leur reprochez-vous?

Le recrutement des journalistes formés dans des institutions dont la ligne politique n’est bien sûr pas neutre mais de gauche. Le résultat est un traitement ridiculement homogène de l’information. Nos articles sur le féminisme ou la criminalité étrangère donnent des exemples de malhonnêteté intellectuelle de certains journalistes «officiels».

Est-ce que la crise sanitaire et son traitement par les médias a précipité le projet de La Hallebarde? Si oui pourquoi?

La crise sanitaire a permis d’alimenter des articles mais n’était pas l’élément déclencheur. Nous avons choisi de défendre l’intérêt de la jeunesse et de son avenir et pas uniquement celui des plus faibles et encore moins celui de la science, qui elle aussi est victime de biais, surtout lorsqu’elle cherche à faire des prédictions sur l’avenir.

Quels sont les manques dans le paysage médiatique que vous souhaitez combler?

Nous avons rédigé un article sur le paysage médiatique. SSR et TX Group ont le quasi-monopole de l’information en Suisse. Avec une grille de lecture identique, ils ont la fâcheuse tendance à tourner en ridicule les gens qui s’inquiètent des sujets liés à l’identité suisse et plus généralement européenne qui sont trop souvent méprisées car heurtant la ligne égalitariste et progressiste des médias mainstream.

Y a-t-il réellement une place en Suisse romande pour les médias d’opinion? Est-ce vraiment dans l’ADN suisse?

Il n’existe pas d’ADN qui ne soit pas empreint d’opinions. Les Suisses ne sont pas des robots, l’émotion est très présente lors des votations par exemple. Le journaliste au style rédactionnel aseptisé, tant il cherche à lisser ses propos, a forcément ses opinions. Nous sommes d’avis qu’il est hypocrite de faire croire à une neutralité impossible.

Le ton de la hallebarde est assez virulent, défend une opinion bien tranchée sur certaines thématiques, ne doit-on pas quand même garder une forme de neutralité?

La neutralité pure est une chimère pour le journaliste, il sera toujours influencé par sa propre culture. Ce n’est toujours qu’une tentative que d’être le plus neutre possible. À l’heure où la civilisation est menacée jusqu’à son socle identitaire, nous n’avons plus le luxe de tendre vers la neutralité.

À l’heure des réseaux sociaux, a-t-on réellement besoin de fonder un média pour faire part de son opinion sur des sujets?

Les réseaux sociaux censurent, par shadow ban ou suspension, les opinions qui ne sont pas politiquement correctes. Il est donc obligatoire d’avoir son espace privé et d’utiliser les réseaux comme relais.

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