C’est avec une gaule de titan que je me suis levé de bonne heure lundi matin. Cette journée pluvieuse avait donc bien commencé quand, tout à coup, l’on m’envoya un article pas très bien écrit paru dans le 24 Heures, un journal du passé qui appartient à des milliardaires zurichois.
Tout en écorchant mon pseudonyme, le journaliste relaie les sanglots d’individus se situant au-delà du champ de la binarité. Ces derniers chialent abondamment, à s’en délaver leurs affreuses Birkenstock. J’aurais apparemment incité au mépris et à la haine en amalgamant l’homosexualité à une maladie mentale, au sida et à la pédophilie.
Mon article élogieux sur la variole du singe qu’il ne faut surtout pas lire et partager leur a provoqué de violents épisodes épileptiques. Peu clients de ma poésie, ils décidèrent tout naturellement de se réfugier dans les jupes du Ministère public. L’objectif affiché de ces ennemis de l’humour est de faire tomber mon anonymat. Ces gens sont des ingrats, moi qui ai pourtant écrit que le wokisme était une bénédiction.
Cela me donne l’occasion ici d’apporter des précisions sur ces accusations et quelques éclaircissements sur des sujets cruciaux que nos lecteurs se doivent de connaître.
Homosexualité et maladie mentale
Que l’on me cite un exemple, pris dans son contexte, où j’assimile l’homosexualité à une maladie mentale. Ces gens en sont incapables, puisqu’il n’en existe pas. Il n’y a que deux passages sur l’ensemble de mes articles où ces termes sont plus ou moins accolés, les voici:
Les studios Disney soucieux de la diversité sexuelle dans leurs films
«Quoi qu’il en soit, il est jouissif de voir que la soumission aux diktats de malades mentaux souhaitant sexualiser des gosses en bas âge suscite le dégoût universel.»
La maladie mentale n’est pas reliée à l’homosexualité, mais à la volonté des producteurs des studios Disney de forcer des enfants à consommer du contenu sexuellement engagé au travers de dessins animés. Ce qui est, vous le concéderez, particulièrement vicieux comme méthode d’embrigadement. Y voir de l’homophobie reviendrait à sous-entendre que toute la production de Disney est homosexuelle, serait-ce le cas?
Des militants LGBT psychotiques perturbent une conférence à l’UNIGE
«En Suisse, depuis le vote stupide du privilège homo, rappeler à des militants LGBT qui se comportent comme des malades mentaux qu’ils sont effectivement des malades mentaux, c’est se risquer à être traîné en justice et condamné pour transphobie.»
Je vous laisse aller découvrir la vidéo sur laquelle je me suis basé pour écrire cet article. Là encore, il n’est nullement question de leurs orientations sexuelles car ces militants étaient peut-être des hétéros cisgenres, mais bien des beuglements d’ahuris que ces névrotiques poussent pour interrompre une conférence à l’UNIGE.
Homosexualité et sida
Tout comme la variole du singe, le sida s’est largement propagé par le biais des milieux homosexuels. Il n’est un secret pour personne que la propension à se faire sodomiser par des dizaines de partenaires sans protection chaque semaine tout en étant défoncés aux dernières drogues de synthèse issues de laboratoires chinois clandestins est plus importante parmi la population mâle homosexuelle.
C’est tellement vrai que des «check-point» ont été mis en place exclusivement pour eux. Un hétéro* qui désire aller s’y faire tester sera tout simplement reconduit à la sortie, trop intolérant qu’il est pour désirer connaître les joies de la farandole des nouilles. Il paraît qu’on appelle cela l’égalité.
*Masculin singulier. Synonyme de Nazi.
Homosexualité et pédophilie
À l’instar du sida, là aussi des documents scientifiques relatant la disproportion d’homosexuels dans les actes de pédophilie sont accessibles. Comment un homo peut-il encore nier cette réalité, au XXI siècle?
Après avoir échoué dans les années 70 à banaliser cette pratique sortie de l’Enfer, les pédophiles comptent bien parvenir à leurs fins un demi-siècle plus tard par l’entremise d’idiots utiles, tels que les membres de ces associations, d’où la juste étiquette «LGBTQPed».
Qu’ils en soient conscients ou non, les plus fanatiques des activistes LGBT militent pour la normalisation de la pédophilie dans la société. Les idéologies vont au bout de leurs logiques. Je l’avais déjà écrit dans cet article, et je le redis ici:
Au final, pourquoi ne pas supprimer les frontières de l’amour définies arbitrairement entre les âges? Pourquoi accepter une binarité entre adulte et enfant, alors qu’elle est niée entre homme et femme?
Quelques approximations à corriger
La Hallebarde n’a pas débuté en janvier, mais en avril 2022. Ensuite, ce n’est pas moi qui présente Pink Cross comme un lobby qui met la pression sur les politiques. Je n’ai fait que rapporter les propos tenus mot pour mot par la conseillère d’État vaudoise dans l’émission Forum. Elle ajoute même la «forte» pression des associations. Faut-il comprendre que Rebecca Ruiz est une homophobe qui suscite la haine à l’égard des personnes LGBT?
Nous apprenons également que le grand remplacement est une théorie complotiste, alors que les locaux du 24 Heures se situent littéralement à 300 mètres de la gare de Lausanne, lieu damné où ce phénomène peut être observé par quiconque veut bien voir ce qu’il voit.
Pour couronner le tout, il a fallu qu’un centriste complètement à côté de ses pompes rajoute sa petite contribution aussi ridicule qu’inutile en divaguant sur la démocratie en citant Karl Popper qu’il n’est même pas foutu d’écrire correctement.
Lui qui sous-entend que la liberté d’expression doit être limitée n’a visiblement pas compris que son parti était l’essence même de la faiblesse.
Nous en sommes donc là, en 2022, à se voir obligé de tolérer l’ingérence d’un lobby qui n’existe pas dans le développement naturel de la sexualité des enfants, sous peine d’être traîné devant les tribunaux et jugé en vertu d’une loi acceptée par la populace lobotomisée. Ce crime contre nature est permis par cette démocratie libérale et égalitaire que veut protéger à tout prix cet invertébré.
Je tiens encore à le répéter ici: ne lisez surtout pas les articles cités plus haut, à aucun moment. Vous risqueriez de vous faire ensorceler par une puissante magie bantoue vous insufflant l’envie d’aller casser du pédé.
Ces gens se rendent plus insupportables à mesure que les jours passent. À un point tel qu’ils finiront par constituer le seul point positif d’une invasion des terres romandes par le califat du Frankistan.
Vraiment, on n’en peut plus.